Citations célébres de Molière
Le Dépit amoureux, 1656
Mascarille : On ne meurt qu'une fois, et c'est pour si longtemps !…
-
« Le Dépit amoureux », dans Œuvres complètes, Molière, éd. F. Didot, 1856, acte V, scène IV, p. 82
« Le Dépit amoureux », dans Œuvres complètes, Molière, éd. F. Didot, 1856, acte V, scène IV, p. 82
La Critique de l’école des femmes, 1663
Uranie à Dorante : La tragédie, sans doute, est quelque chose de beau quand elle est bien touchée ; mais la comédie a ses charmes, et je tiens que l’une n'est pas moins difficile à faire que l’autre.
-
« La Critique de l’École des femmes » (1663), dans Œuvres, Molière, éd. Hachette, 1876, t. 3, scène VI, p. 35
« La Critique de l’École des femmes » (1663), dans Œuvres, Molière, éd. Hachette, 1876, t. 3, scène VI, p. 35
Le Tartuffe, 1664
Tartuffe à Elmire : Ah ! pour être dévot, je n'en suis pas moins homme ;
-
Le Tartuffe (12 mai 1664), Molière, éd. Hachette Éducation, coll. Classiques Hachette, 2006 (ISBN 2-01-017222-1), acte III, scène 3, p. 86, vers 966
Le Tartuffe (12 mai 1664), Molière, éd. Hachette Éducation, coll. Classiques Hachette, 2006 (ISBN 2-01-017222-1), acte III, scène 3, p. 86, vers 966
Le Misanthrope, 1666
Alceste : Je veux qu’on me distingue ; et, pour le trancher net,
L’ami du genre humain n’est point du tout mon fait.
-
Le Misanthrope, Molière, éd. Louandre, 1910, acte I, scène 1, p. 172
L’ami du genre humain n’est point du tout mon fait.
Le Misanthrope, Molière, éd. Louandre, 1910, acte I, scène 1, p. 172
Amphitryon, 1668
Sosie :
La faiblesse humaine est d'avoir
Des curiosités d'apprendre
Ce qu'on ne voudrait pas savoir.
La faiblesse humaine est d'avoir
Des curiosités d'apprendre
Ce qu'on ne voudrait pas savoir.
- « Amphitryon », dans Œuvres complètes, Molière, éd. F. Didot, 1856, acte II, scène III, p. 423
L'Avare ou l'École du mensonge, 1668
Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger.
- « L'Avare », dans Œuvres complètes, Molière, éd. F. Didot, 1856, acte III, scène V, p. 454
Le Malade imaginaire, 1673
Presque tous les hommes meurent de leurs remèdes et non pas de leurs maladies.
- « Le Malade imaginaire », dans Œuvres complètes, Molière, éd. Hachette, 1867, vol. 3, acte III, scène III, p. 426
No hay comentarios:
Publicar un comentario